Les ouvrages sur les littératures modernes d’Asie du Sud-Est ne sont pas encore très nombreux. Les chercheurs se sont surtout intéressés aux littératures anciennes ou orales. Ils insistent aujourd’hui sur le fait que, s’ils ne recueillaient pas les oeuvres modernes, cette production littéraire pouvait rapidement devenir introuvable du fait de tirages réduits, de l’absence de dépôt légal et de par leur nature ne trouvant pas « comme autrefois » abris dans les bibliothèques des palais, pagodes ou mosquées.
C’est ce que les co-auteurs de cet ouvrage ont voulu prévenir, en présentant et analysant ces oeuvres, qui touchent à la littérature, mais également aux langues, à l’histoire, aux cultures.