1837. La pêche baleinière française est à son apogée. Après avoir écumé l’Atlantique Sud et les côtes du Chili, la plupart des bâtiments sortis des ports du Havre et de Nantes mettent le cap sur la Nouvelle-Zélande. Hasard de l’histoire ? Trois années seulement après leur arrivée, la France – désireuse depuis longtemps de s’implanter durablement dans le Pacifique à l’image de l’Angleterre en Australie – s’essaie alors à la colonisation du sud de l’archipel néo-zélandais.